Présidentielles 2012

C'est parti mon kiki, voici une première source pour amener de l'eau au moulin :

http://www.debats2012.fr/

Site de synthèse d'idées par Terra Nova, think tank du même nom. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Terra_Nova_%28think_tank%29)

Je vote CANTONA !!!!!

"Quand on a" envie de foutre encore un peu plus la merde en éparpillant les voix, c'est ce qu'il reste à faire.

il ne se présente pas de toutes façons...et chacun vote en son âme et conscience les candidats ne sont pas responsables de l'éparpillement des voies ce sont les électeurs...

me concernant bien décidé a ne pas voter Sarkozy, je peine a voir se dessiner quelque chose de concret coté PS... et ca c'est pas rassurant d'autant qu'Hollande ne pourra pas miser sur son charisme pour etre élu...

http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/courbe-sondages/

La Biroute monte.

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/01/16/le-spectre-du-retrait-colle-a-la-campagne-d-eva-joly_1630149_1471069.html#ens_id=1318702&xtor=RSS-3208

pas sur qu'elle passe l'hiver la petite Eva...

Générateur de slogan de campagne, c'est con mais il y en a toujours des meilleurs que les véritables c'est pour dire...

http://www.slate.fr/story/48743/generateur-slogan-campagne-presidentielle#!/slogan/NC0yLzUtNy84LTAvMTAtMS8xOC00

mouais la majorité ne veut rien dire, vu la syntaxe je dirais que le générateur a été créé par notre duo JB & Chosta

hier soir un débat très intéressant (comme souvent) dans Ce soir ou jamais, quelqu'un l'a regardé aussi?

Ah! ces conservateurs d'une rigueur déconcertante

Les cumulards :

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/4/08/60/68/Doc-HTML/Elus-2.html#

Enorme, en Lorraine, VETSCH Lucien c'était le Président de mon club de foot, accessoirement en plus de ces mandats qu'il a toujours eus il possédait un garage qui marchait plutôt bien.

Quand Sarkozy s'était engagé sur 5% de chômeurs pour la fin de son quinquennat

C'est le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault, qui rappelait "l'anecdote" mercredi 18 janvier sur son compte Tweeter et sur son blog.

Invité sur le plateau de l'émission d'Arlette Chabot "À vous de juger" en 2007, Nicolas Sarkozy étrennait avec conviction son costume de candidat à quelques mois de l'élection présidentielle. Et c'est avec détermination et persuasion qu'il avait annoncé ses objectifs pour réduire le taux de chômage en France, allant même jusqu'à annoncer des chiffres très précis : "Je veux m'engager, par exemple, sur le plein emploi : 5% de chômeurs à la fin de mon quinquennat. (...) On nous demande une obligation de résultats. C'est quand même extraordinaire, la démocratie il faut qu'elle vive. Si on s'engage sur 5% de chômeurs et qu'à l'arrivée il y en a 10%, c'est qu'il y a un problème". Relancé par la journaliste, Nicolas Sarkozy en rajoute même une couche : "Je dis aux Français, c'est un échec, j'ai échoué (si l'objectif n'est pas atteint, ndlr). Et c'est aux Français d'en tirer les conséquences". À moins de 100 jours de la présidentielle, il reste aux Français quelques mois de réflexion pour tirer, ou non, les conséquences de cet échec...


Je le vois d'ici: "Mais oui ma bonne dame mais depuis vous comprenez il y a eu la crise.......patati et patata...."

oui voilà, il faut y aller maintenant Nicolas... faut pas rester, ça devient gênant, tout le monde est mal à l'aise et surtout n’oublie pas tes neuneus !!!

http://www.liberation.fr/politiques/01012385389-le-retrait-d-herve-morin-n-est-plus-qu-une-question-de-delai

tout fout le camp moi je vous le dis!!! Pauvre Morin trahis par les siens comme il avait trahis Bayrou il y a 5 ans pour un poste de ministre à n'en pas douter c'est ce que vise son numéro 2...

La roue tourne ... c'est bien il aura été ministre de la défense ...

Maintenant j'attends le retour de Karma de Eric "Judas" Besson !

Allez au'revoir

Présidentielle 2012: Hervé Morin s'explique après «avoir vu le débarquement», 17 ans avant de naître
Mis à jour le 24.01.12 à 10h50

Le candidat Nouveau Centre à la présidentielle, né en 1961, qui a fait jaser avec sa bourde sur le débarquement lors d'un déplacement à Nice («Moi qui ai vu en Normandie le débarquement des alliés, nous avons vécu des épreuves drôlement plus difficiles que celles» d'aujourd'hui), essaie de s'expliquer ce mardi sur Twitter, expliquant: «Quand on est normand, les croix blanches américaines font partie de son ADN», puis «Bravo pour votre humour ! Quand je vous dis que les Français regorgent de créativité !». Dur de gagner de nouveau en crédibilité, les réseaux sociaux ayant qualifié le candidat de «Marty McFly», le héros de la trilogie «Retour vers le futur»...

Citation :

«En cas d'échec, j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude». C'est ce qu'aurait prononcé le chef de l'Etat, candidat non encore déclaré, rapporte ce mardi Le Monde.

tout le monde sait ce qu'il reste à faire...

En 2012, faut pas que Sarkommence, mais faut pas croire non plus Hollandemains qui chantent.

Les mesures de Francois Hollande

RELANCE DE LA PRODUCTION, DE L'EMPLOI ET DE LA CROISSANCE

- Création d'une Banque publique d'investissement et d'un Livret d'épargne industrie au profit des PME.
- Doublement du plafond du livret de développement durable.
- Rééquilibrage de l'impôt sur les sociétés au profit des PME et des TPE et au détriment des grandes entreprises.
- Couverture intégrale de la France en très haut débit d'ici à dix ans.
- Préservation du statut public des entreprises détenues majoritairement par l'Etat (EDF, SNCF, La Poste...)
- Séparation des activités des banques "utiles à l'investissement et à l'emploi de leurs opérations spéculatives", bannissement des banques françaises des paradis fiscaux, interdiction des "produits financiers toxiques" et des stock-options, sauf pour les entreprises naissantes, encadrement des bonus et sur-taxation de 15% des bénéfices des banques.
- Réduction du déficit public à 3% du PIB et retour à l'équilibre fin 2017.
- Suppression de 29 milliards d'euros de niches fiscales "équitablement répartis entre les ménages et les entreprises".
- Montée en puissance du financement des "priorités" jusqu'à 20 milliards d'euros en 2017.
- Coup d'arrêt à la révision générale des politiques publiques (RGPP) et à l'application "mécanique" du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux.

REFORME FISCALE

- Fusion à terme de l'impôt sur le revenu et de la CSG.
- Nouvelle tranche à 45% pour les revenus supérieurs à 150.000 euros par part et plafonnement à 10.000 euros de la diminution d'impôt tirée des niches fiscales.
- augmentation de 25% de l'allocation de rentrée scolaire dès septembre.
- abaissement du plafond du quotient familial pour les 5% de ménages les plus aisés.
- relèvement de l'impôt sur la fortune pour les plus gros patrimoines et abattement sur les successions ramené à 100.000 euros par enfant.

EDUCATION ET JEUNESSE

- création de 60.000 postes supplémentaires dans l'Education en 5 ans.
- augmentation de "25%" de l'allocation de rentrée scolaire dès septembre.
- allocation d'études et de formation sous conditions de ressources.
- abrogation de la circulaire sur les étudiants étrangers.

RETRAITES, SANTE

- départ à 60 ans pour ceux qui ont cotisé toutes leurs annuités. Pour le reste, négociation dès 2012 pour définir "âge légal, "montant des pensions notamment".
- augmentation de la part de rémunération forfaitaire des médecins généralistes. Encadrement des "dépassements d'honoraires", favoriser une baisse du prix des médicaments.
- assistance médicalisée pour "terminer sa vie dans la dignité", dans des "conditions précises et strictes".

EMPLOI

- créer 150.000 emplois d'avenir pour l'insertion des jeunes.
- mettre fin à la défiscalisation et aux exonérations de charges sur les heures supplémentaires, sauf pour les TPE.
- "contrat de génération": "permettre l'embauche par les entreprises, en CDI, de jeunes, accompagnés par un salarié plus expérimenté qui sera ainsi maintenu dans l'emploi jusqu'à son départ à la retraite".
- augmentation des cotisations chômage pour les entreprises qui abusent des emplois précaires
- création de 1.000 postes par an pour la police, justice, gendarmerie
- dès l'été 2012, réunion d'une grande conférence économique et sociale, "saisie des priorités du quiquennat"

SOCIETE, NUMERIQUE, ENVIRONNEMENT, ENERGIES

- l'obligation pour une commune de construire des logements sociaux est portée de 20 à 25%. Mixité sociale.
- banlieues: lancement d'opérations de renouvellement urbain. Maintien des services publics. Augmentation des moyens, notamment scolaires. Présence régulière des services de police.
- remplacement de la loi Hadopi par une loi "signant l'acte 2 de l'exception culturelle".
- lutte contre le "délit de faciès".
- loi favorisant l'égalité professionnelle homme/femme.
- ouvrir le droit au mariage et à l'adoption aux couples homosexuels.
- réduire la part du nucléaire dans la production d'électricité de 75 à 50% à l'horizon 2025.
- fermeture de la centrale de Fessenheim, poursuite du chantier de l'EPR de Flamanville.

INSTITUTIONS

- loi de 1905 sur la séparation Eglise/Etat inscrite dans la Constitution, en tenant compte du statut de l'Alsace et Moselle.
- réforme du statut pénal du chef de l'Etat.
- droit de vote accordé aux étrangers aux élections locales.
- loi sur le non-cumul des mandats, introduction d'une part de proportionnelle aux législatives.
- Réduction de 30% de la rémunération du président et des ministres.

EUROPE, INTERNATIONAL

- Proposition d'un "pacte de responsabilité, de gouvernance et de croissance", création d'euro-obligations et nouveau traité franco-allemand.
- Proposition d'une politique commerciale européenne anti-dumping social et environnemental.
- Contribution climat-énergie aux frontières de l'Europe.
- retrait immédiat de nos troupes d'Afghanistan.

Alain Juppé en flanc-garde de Nicolas Sarkozy

LEMONDE | 26.01.12 | 13h04

Ils sont les candidats consorts, les substituts du candidat qui n'est pas candidat. Nicolas Sarkozy a décidé d'envoyer au front le premier ministre François Fillon et le premier ministre bis, Alain Juppé, battre la campagne. En attendant qu'il se déclare officiellement, sans doute au début du mois de mars.

Le ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères, doit affronter François Hollande lors d'un débat sur France 2, jeudi 26 janvier. Il y a une dizaine de jours, la garde rapprochée de M. Sarkozy se réjouissait de ce qu'elle estimait être une erreur du candidat socialiste, qui se mettait, encore une fois, au mauvais niveau, après avoir réagi en novembre 2011 au plan de rigueur annoncé par M. Fillon. Il aurait la stature d'un premier ministre, peut-être ; d'un président, certainement pas. "Juppé va donner une leçon d'homme d'Etat à François Hollande", se réjouissait avant l'émission un proche du président.

"Je ne suis pas adepte des noms d'oiseaux. Il faut le débusquer", confiait M. Juppé avant l'émission, accusant M. Hollande d'être "malhonnête intellectuellement car il met entre parenthèses la crise et nous en fait porter la responsabilité". M. Juppé voulait bûcher toute la journée sur son émission, examiner en détail programme et déclarations de M. Hollande, après avoir eu Jean-Louis Borloo au téléphone, spécialiste du social à droite, alors que le chômage s'envole.

Toutefois, une inquiétude pointe dans le camp sarkozyste. Alain Juppé, avec sa raideur, risque de vouloir donner une leçon d'économie et se prendre en boomerang François Hollande, qui, lui, mettra en avant le chômage record et l'envolée des déficits sous Nicolas Sarkozy. Un remake du célèbre "je ne suis pas votre élève" de François Mitterrand à Valéry Giscard d'Estaing en 1981 dans le débat de l'entre deux tours.

Avant l'affrontement, l'ex-ministre Brice Hortefeux était prudent ; "Juppé à un côté austère qui se marre. Il n'y a pas d'inquiétude sur le fond, mais sur la forme de l'exposé, d'autant que François Hollande fait beaucoup de pirouettes".

TOTALEMENT LOYAL

L'autre crainte est que M. Juppé ait tellement une stature d'homme d'Etat qu'il donne des regrets à la droite sur son candidat. Juppé est jugé totalement loyal par le président et nul n'imagine qu'il puisse remplacer Sarkozy, c'est beaucoup trop tard. Mais ses troupes, peut-être lui, auront alors l'amère satisfaction d'avoir démontré qu'il est resté "le meilleur d'entre nous", selon l'expression de Jacques Chirac en 1995. "Si Juppé réussit sa prestation, il donnera le sentiment qu'Hollande est prenable. S'il réussit trop, certains diront qu'il aurait dû être notre candidat", estime un poids lourd du gouvernement.

Dans ce contexte, M. Hortefeux minimise l'importance du débat. "Les vrais débats se font entre les candidats eux-mêmes", dit-il.

Alain Juppé confie lui-même : "Je ne suis pas un homme miracle." En attendant, il fait le boulot, multiplie les meetings. Il sera le 9 février au Havre, le 15 à Strasbourg et a tenu une réunion publique à Nice devant deux mille militants mercredi 25 janvier, où il a rôdé son argumentaire face à M. Hollande ; "Je vais vous faire une confidence : demain soir, vers 21 heures, je penserai à vous, cela me donnera de la “niaque” comme on dit chez nous", a lancé M.Juppé.

"Nous aussi, nous vivons pour les valeurs", a assuré le ministre des affaires étrangères, qui a appelé à ne pas laisser "démanteler la politique familiale" et dénoncé "l'obsession égalitaire du PS". "Dimanche, c'était égalité, égalité, égalité", a dit M. Juppé avant d'ajouter : "Nous préférons la justice." M. Juppé a aussi défendu le bilan de M. Sarkozy : "Jamais on a autant modernisé la France que sous ce quinquennat", a-t-il lancé, attribuant le déficit non pas au président mais à la crise.

M. Juppé est loyal. " Sarkozy me connaît bien depuis longtemps, il sait que je ne suis pas tordu", confie-t-il. Le président le traite avec des égards, s'exprime toujours dans un langage courtois. Au petit-déjeuner de la majorité, après l'exposé de M. Fillon, M. Sarkozy lui donne systématiquement la parole. M. Juppé, qui aconnu un clash mémorable lorsque M. Sarkozy l'a contourné sur le dossier libyen avec le philosophe Bernard-Henri Lévy, est le seul à se permettre de ne pas toujours rappliquer lorsque le président convoque une réunion, ce qui donne parfois lieu à irritation.

L'Elysée laisse courir l'idée qu'il deviendrait premier ministre en cas de réélection de M. Sarkozy : deux hommes en fin de carrière, qui n'auraient plus rien à perdre, déterminés à réformer la France. Et de tempérer les ardeurs des quadragénaires déjà engagés dans la guerre de succession.

intéressant, drôle de destin que celui de Juppé, un peu comme Rocard à gauche, trop honnete et clairvoyant...pas assez tordu

Effectivement le pauvre Francois se fait demonter par Juppé....
Grosse difference de niveau...c triste

Je n'ai pas vue le débat mais ce n'est pas ce qui ce dit ce matin dans la presse ? M'est avis que mieux tu parles plus il faut se méfier. Et si tu votes pour le meilleur orateur Sarko est plutôt doué dans cet exercice là.

c'est mon sentiment, les juges à la boxe ne sont pas toujours d'accord, je trouve Juppé meilleur
pour le reste Hollande peine toujours à me convaincre...

Pas vu le débat, mais effectivement, dans les médias ce matin on entend que Hollande n'a pas été si mauvais, que les critiques de Juppé n'étaient pas toujours fondées, et surtout que ça a été une erreur de l'UMP d'envoyer Juppé attaquer Hollande sur des problèmes économiques.... C'est même un partisan de droite qui disait ça de matin....

Bon, à voir, de toute façon je ne baserai pas mon vote sur un débat....

Citation :

Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a annoncé mercredi à l'AFP qu'il se retirait de la course présidentielle dans laquelle il s'était engagé le 5 novembre, ajoutant qu'il indiquerait «le moment venu» à qui il apporterait son soutien.

c'est toujours les meilleurs qui partent en premier...enfin presque...