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| [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? | |
| | Auteur | Message |
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Guiguimaster Tohu-Bohien
Nombre de messages : 5612 Age : 44 Localisation : Ômiens Emploi : Intermittant du spectacle dans l'éducation nationale Loisirs : Avec un boulot pareil j'ai pas vraiment de temps pour ces conneries Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Sam 18 Déc - 5:24 | |
| Tant qu'ils refuseront de reconnaître leur responsabilité dans le génocide arménien je serais farouchement contre ! On ne peut pas accueillir en Europe une nation qui ne regarde pas son passé davantage en face. Cette semaine le parlement turque votait encore une loi punissant les femmes adultères, mais la loi restait muette sur la responsabilité des hommes adultères... enfin le pays pratique toujours ouvertement la torture. Pour toutes ces raisons, qui renvoie de la Turquie l'image d'un pays ambigue qui joue la carte de la modernité mais qui a encore un pied au Moyen-Age, je suis contre. De plus, géographiquement l'espace turque n'a pas grand chose d'Européen. Cela repousserait les frontières de l'Union jusqu'à l'Iran. Prochain candidat la Syrie ?? Quand on sait que l'Algérie, le Maroc et la Tunisie ne se pensent déjà plus comme des nations africaines mais ne rêvent que d'Europe, c'est la porte ouverte à n'importe quoi. La Turquie historiquement a davantage d'arguments, avec l'empire ottoman qui s'étendait jusqu'à Vienne et encore aujourd'hui Istanbul qui se trouve en Europe. Mais le problème du génocide arménien devrait être érigé en condition sine qua non ! Enfin, c'est un pays islmaque. Un islam relativement modéré mais qui est religion officielle. On est loin du schéma d'une Europe des républiques laïques.
Dernière édition par le Dim 5 Juin - 14:54, édité 1 fois | |
| | | Guigo Arbre sâcré
Nombre de messages : 1780 Age : 43 Localisation : Patatland Emploi : Fantôme à l'Education Nationale Loisirs : HEAVY METAL OVER DRIVE Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: la Turquie dans l'Union européenne ? Dim 19 Déc - 0:10 | |
| :? Je suis tout à fait d'accord avec Guigui pour les conditions sine qua non, que sont la reconnaissance du génocide arménien, l'abolition définitive de la torture, et le respect total des Droits de l'homme et de la femme, malheureusement, je crois que les bureaucrates de Bruxelles, pressés par des visées pseudo-diplômatiques, mais surtout économiquement libérales, le senjamberont sans états d'âme... Pour ce qui est de la question de l'Islam, alors là, je m'en fiche comme de mon premier calbute...Le vrai problème, c'est que si on refuse à la Turquie ce qu'on n'a pas arrêté de leur promettre et de repousser depuis une décennie, alors là oui, on aura des ennuis avec les fondamentalistes islamiques qui auront toutes les raisons d'être sourds aux bonnes raisons (parce qu'il y en a) de l'éventuel refus européen. Je vais peut-être paraître naïf- mais en même tps, je ne suis pas politicien-, mais il me semble que c'est une occasion rêvée de montrer une bonne fois pour toute que les valeurs humanistes peuvent supplanter les barrières religieuses. Je crois que dans le contexte actuel, il vaut mille fois mieux accepter une main tendue amicale et pacifique plutôt que de la dédaigner ou la refuser... Autre argument, malheureusement moins enchanteur car plus pragmatiquement politique, je crois que la Turquie fait d'ores -et déjà partie de l'Union européenne : il y a déjà des accords de marché commun, la Turquie participe à l'Eurovision (c'est ridicule je sais, mais c'est quand même une institution culturelle européenne), ainsi qu'à l'UEFA (et quand on parle de foot, on fait plus les malins, hein les gars !). Il y a donc une tendance à l'élargissement par petites touches d'integration...Malheureusement, j'ai peur qu'à terme, cette tendance finisse par atteindre Israël... Evidemment, là on ne se retrouverait plus géographiquement en Europe, mais je voudrais affirmer ici aussi que l'argument géographique est lui aussi d'ores-et-déjà périmé : Chypre est dans l'Union européenne !!! Et à mon avis, Chypre est géographiquement beaucoup moins européeenne que la Turquie... Pour finir, j'aimerais envisager une perspective idéaliste... Pourquoi vouloir à tout prix marquer des frontières entre les nations qui ont la même volonté d'oeuvrer ensemble pour les Droits de l'Homme et le multilatéralisme ? Pourquoi vouloir limiter cette perspective à l'Europe ? Pourquoi ne pas oublier le nom d'Europe ? Soit nous devons travailler à la mise en place d'une Union du Moyen-Orient et d'une Union d'Afrique, etc, etc, soit nous devons envisager de débaptiser l'Union européenne, et, afin, de mieux la partager avec toutes les nations volontaires, inventer une Union dont l'adjectif ne serait pas qualificatif d'une région, ni d'un continent limitatif, mais qualificatif d'un destin, d'une ambition, d'un idéal communs.... C'est naïf, je sais, mais qu'est-ce que ça serait beau... Un mec bien a dit un jour qu'il avait fait un rêve... | |
| | | Guiguimaster Tohu-Bohien
Nombre de messages : 5612 Age : 44 Localisation : Ômiens Emploi : Intermittant du spectacle dans l'éducation nationale Loisirs : Avec un boulot pareil j'ai pas vraiment de temps pour ces conneries Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: Re: la Turquie dans l'Union européenne ? Dim 19 Déc - 2:02 | |
| L'adhésion de la Turquie, un frein à la construction d'une Europe politique et culturelle ?
Je souhaite moi aussi voir un jour la Turquie intégrer l’Europe ! Les arguments favorables existent bel et bien. L’Anatolie est à bien des égards teintée de culture européenne et l’histoire turque a une cohérence européenne. Mais à la différence de Guigo, je mets la question de l’Islam au centre du débat. Elle est essentielle ! De même, tu développes la thématique de « la main tendue », mais l’Europe a-t-elle vocation à risquer ses acquis déjà fébriles pour stabiliser un régime politique qui pratique encore la torture et refuse de reconnaître ses responsabilités dans le génocide arménien ? Enfin troisième point de désaccord, tu sites les accords de marchés communs conclus entre l’Europe et la Turquie pour montrer que dans son fonctionnement la Turquie fait déjà partie de l’Union. Mais quelle importance donner dans la définition de l'Europe à la composante économique ?
L’islam se situe au cœur des hésitations de Bruxelles, et à juste titre…. La Turquie s’est transformée au début du 20e siècle en pays presque exclusivement musulman suite au génocide des Arméniens et à l’expulsion des Grecs. Laïc durant tout le 20e siècle (grâce à la volonté de fer de Kemal, soutenu par l’armée), la Turquie s’est peu à peu occidentalisée, abandonnant la polygamie, introduisant l’alphabet latin… Mais dés les années 70, le vent tourne, et le retour du voile témoigne d’un renouveau religieux. Aujourd’hui, la liberté religieuse en Turquie est toute relative puisqu’elle ne va pas jusqu’à permettre à un musulman de répudier sa religion. De même le parti politique au pouvoir est un parti islamique. Et s’il affiche une conduite modérée, c’est pour la bonne raison que l’armée n’en autorise pas d’autres pour le moment. La Turquie n’a plus grand-chose d’un Etat laïque. S’il est clair que l’Europe tire du christianisme une bonne partie de son identité, de sa culture et de son rayonnement, tout les pays de l’Union sont aujourd’hui attachés à la laïcité et à la séparation des affaires politiques des affaires religieuses. Cette laïcité permet entre autre aux musulmans d’Europe occidentale de jouir d’une tranquillité sans égale dans le monde islamique. Elle constitue l’un des rares ferments d’unité en Europe sur le plan politique, et elle doit à mon sens servir de base à la construction de l’Union. Sans quoi nos difficultés existentielles à donner corps à une Europe politique s’en trouveraient démultipliées. Accéder à la demande de la Turquie sans qu’elle se décide à embrasser, au-delà de la laïcité, les valeurs humanistes qui définissent le cadre européen constituerait un frein à la construction d’une Europe politique qu’on désespère de voir un jour. Et on rejoint ici la question essentielle du génocide arménien pour laquelle Bruxelles se doit d’observer une tolérance zéro. Il en va de la crédibilité même de l’Europe. Intégrer un pays qui n’assume pas le massacre passé de millions d’innocent ferait vaciller l’Europe.
Certes, fermer la porte aux tendances modérées en Turquie renforcerait sans doute cette évolution vers un islamisme convaincu et vers moins de laïcité. Mais le risque est grand de repousser les limites de l’Europe jusqu’au Moyen-Orient, qui demeure la zone la plus conflictuelle du globe. Et j’en viens à mon deuxième point de désaccord avec Guigo, car je ne pense pas que l’Europe ait aujourd’hui la vocation de tendre la main à la Turquie. Du reste une telle politique serait même suicidaire ! Intégrer la Turquie à l’Europe uniquement pour l’arrimer à la démocratie et lutter contre l’islamisme serait un aveu de faiblesse. Il donnerait à penser que les pays musulmans sont capables de se rallier aux valeurs du monde moderne, aux droits de l’homme, à l’égalité entre les sexes, ou à la démocratie qu’à la condition d’une intégration complète dans l’Union européenne. Cette démarche n’est donc pas acceptable. De plus, l’Europe n’a - heureusement - guère les moyens de telles ambitions. Cela serait en effet un casse-tête incroyable pour les diplomaties européennes que de repousser les frontières européennes aux portes de la Syrie, de l’Iran, d’Israël, au Moyen-Orient qui est la zone la plus instable de la planète. Je pense qu’il ne faut pas oublier de jeter un regard lucide sur ce qu’est l’Europe aujourd’hui, sur ses limites et ses difficultés à émerger.
Car l’Europe politique existe à peine, et accéder aux demandes de la Turquie sans ces garanties que j’ai énoncé plus haut, l’annihilerait presque. La Turquie est-elle en position d’intégrer l’Union européenne parce qu’elle a déjà conclu des accords économiques avec l’Union ? L’argument économique est-il recevable ? Cela revient à poser la question de la définition même que l’on entend donner à cette Europe que l’on construit péniblement depuis maintenant plus de cinquante ans. L’Europe aujourd’hui, hélas, existe principalement dans sa composante économique. Elle est d’abord un vaste marché commun, et cette réalité joue sur les représentations. Ainsi on mesure l’accélération de la construction européenne à l’aune de l’extinction des vieilles monnaies nationales. Le lien avec le culturel existe bien sûr, l’euro fédérant insidieusement les peuples autour de symboles commun, ouvrant les frontières, facilitant les échanges… Mais l’Europe est dans les représentations et l’imaginaire des populations d’abord affaire d’économies. L’argument économique dans le cas de la Turquie n’est pourtant pas recevable. Ce n’est même pas tellement qu’il ne se suffit pas à lui-même pour justifier l’entrée ou non d’une nation dans l’Union, c’est qu’il ne devrait même pas intervenir. L’Angleterre s’obstine à rester marginale sur le plan économique, refusant fièrement la zone euro, la préférence européenne, et jouant une carte beaucoup plus personnelle que les autres Etats de l’Union. Il ne nous viendrait pourtant pas à l’idée de contester la place en Europe de cette nation. Et pour la bonne raison que l’Europe se doit avant tout d’être une Europe politique. Les accords de marchés communs ne devraient pas à mon sens interférer dans la réflexion des administrateurs de Bruxelles, et je crains qu’ils n’interfèrent hélas que trop.
La vraie question qui se profile donc derrière ce débat sur l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne est : quelle image veut-on donner à cet ensemble politique en gestation, qui naît péniblement depuis maintenant plus de 50 ans mais qui mûrit. La Turquie a sans doute une place en Europe, et le processus enclenché depuis des décennies me parait difficilement réversible. Les observateurs pensent qu’en 2015 la Turquie pourrait accéder à ce rêve européen qu’elle espère. Onze années pour lui extirper des aveux, onze années pour obtenir des garanties, dans le simple but de son intégration pleine et entière à cette Europe politique, onze années pour que la Turquie accède aux droits de l’homme et regarde son passé en face. C’est si j’ose dire le prix que l’Europe doit exiger pour se lancer dans cette entreprise risquée, qui redessinera les équilibres mondiaux et redéfinira, n’en doutons pas, le rôle de l’Europe au Proche- et Moyen-Orient. | |
| | | FéeLin Rambo des bacs à sable
Nombre de messages : 194 Localisation : Paris Emploi : bonne question...en devenir Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: Les frontières de l'Europe Lun 20 Déc - 12:46 | |
| Je n'ai pas eu le temps de tout lire, mais juste une remarque concernant les frontières de l'Europe : La Lituanie et l'Estonie, vous trouvez ça en Europe ? Je veux dire d'un point de vue géographique ? Je ne pense pas que l'argument de la géographie tienne la route, mon bon monsieur ! Et si le Maroc, l'Algérie et la Tunisie ne se sentent déjà plus en Afrique, je voudrai rappeler le lourd passé colonial de ces pays. Certe la frontière naturelle que constitue la mer Méditérrannée, est une réelle frontière. Mais d'un point de vue culturel, rien qu'au niveau de la langue, il y a plus de lien entre un algérien et un rwandais.... | |
| | | Guiguimaster Tohu-Bohien
Nombre de messages : 5612 Age : 44 Localisation : Ômiens Emploi : Intermittant du spectacle dans l'éducation nationale Loisirs : Avec un boulot pareil j'ai pas vraiment de temps pour ces conneries Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Lun 20 Déc - 14:05 | |
| Coucouuuuuu Linda :) youpiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Bon alors l'argument géographique est déjà pas mal éprouvé c'est vrai (cf Chypre...), mais je trouve que l'Estonie et la Lituanie (et l'autre pays balte dont le nom m'échappe !!) appartiennent à cet espace géographique européen, qu'on pourrait même étendre à ce qui constituait l'ancien grand Duché de Moscovie, dont l'histoire est tournée vers l'ouest, tournant le dos à la Sibérie et à l'Asie ! La frontière orientale de l'Europe est assez souvent fixée à l'Oural, cette chaîne montagneuse qui coupe la Russie. C'est d'ailleurs ce qui agite le débat sur une éventuelle intégration de la Russie, qui repousserait les limites européennes jusqu'à la Chine. C'est comme s'il existait de fait plusieurs Russies... | |
| | | chostakovitch Tohu-Bohien
Nombre de messages : 3508 Age : 46 Localisation : rennes Emploi : études Date d'inscription : 29/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Ven 31 Déc - 3:39 | |
| qu'est ce que c'est une fillette vierge en turkie?????? une fille qui court plus vite que son père. voila...... belle entrée en matière hein? *pamela je sais ça n'a rien a foutre là mais je l'aime bien(le smiley, pas la blague) | |
| | | mimi Singe savant
Nombre de messages : 1393 Age : 45 Localisation : Rennes Emploi : sans Loisirs : BD, musique, Lacan, Cénèque Date d'inscription : 20/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Ven 31 Déc - 16:34 | |
| Je pensais plutôt à ses cousins, ses oncles, ses voisins, et sa tante lesbienne... Je sens que je vais t'aimer toi!! | |
| | | Guiguimaster Tohu-Bohien
Nombre de messages : 5612 Age : 44 Localisation : Ômiens Emploi : Intermittant du spectacle dans l'éducation nationale Loisirs : Avec un boulot pareil j'ai pas vraiment de temps pour ces conneries Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Dim 2 Jan - 14:32 | |
| héhéhé, grand classique mais indémodable. merci yanou d'avoir bien recentré le débat là comment que j'kiff trop vos avatars à tous les deux ! | |
| | | Guigo Arbre sâcré
Nombre de messages : 1780 Age : 43 Localisation : Patatland Emploi : Fantôme à l'Education Nationale Loisirs : HEAVY METAL OVER DRIVE Date d'inscription : 18/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Lun 3 Jan - 22:23 | |
| Bon ! J'ai filé deux articles écrits par des géographes et publiés dans "Le Monde" de vendredi 31 décembre 2004, concernant la question de la Turquie en Europe, et concernant l'argument géographique... Voilà la conclusion que j'en tire : d'une part, l'argument géographique (quand il est réellement argument) ne doit plus être employé (parce qu'il est caduque à cause de Chypre; parce que le concept de frontière naturelle limitative est lui aussi caduque étant donné que la Manche ne représente pas une frontière, ni la Mer du Nord, ni l'océan glacial arctique...), d'autre part, la VRAIE question ne serait donc pas de savoir si la Turquie est en Europe ou pas, mais si on veut, et si on doit donner, fixer des limites à l'Union européenne... Ce qui, à nouveau, pourrait faire l'objet de débat... *pouce Allez, je vais faire à nouveau mon gros naïf qui aime tout le monde et qui veut que le monde soit gentil : ne limitons pas l'union, refusons les limites qui excluent les autres ! Vive l'Union des gens qui s'entendent bien et qui ne sont pas tous en Europe ! *dodo *peace *bisou Voilà... | |
| | | Tyler Durden Tohu-Bohien
Nombre de messages : 12661 Age : 45 Localisation : 48°52 2°20 Emploi : educateur dans un centre spécialisé pour Nivernais Loisirs : le bilboquet, le curling sur sable, la poésie norvégienne du 14ème siecle Date d'inscription : 18/01/2005
| Sujet: les vraies consequences Mer 26 Jan - 2:43 | |
| j'ai bien envie de relancer ce débat!!! moi et ca n'engage que moi je trouve que l'on a assez de moustachu avec les portuguaises en Europe et que si la Turquie rentre dans l'union ca va faire exploser les quotas...après ca va etre le bordel le ratio Blond/moustache ne sera plus respecté donc a moins que les scandinave ne se reproduisent pas ultra vite avant l'entrée de la turquie on va etre obligé d'importer des blonds...sachant qu'en dehors de l'europe les blonds se trouvent principalement en amerique du nord et donc aux USA on risque d'etre obligé d'importer des américains...par ailleurs on risque de demander a la population de se teindre les cheveux en blond genre eminem... *hein Donc pour moi l'entrée des turcs dans l'UE pose 2 problemes majeurs: 1 on risque de se faire envahir par des americains blonds... 2 je ne veux pas me teindre en blond!!! au lieu de parler d'appartenances culturelles ou géographiques ou encore meme pire de religion pensez plutot aux vraies consequences | |
| | | chostakovitch Tohu-Bohien
Nombre de messages : 3508 Age : 46 Localisation : rennes Emploi : études Date d'inscription : 29/12/2004
| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? Lun 21 Fév - 3:41 | |
| CQFD. que dire après une telle démonstration???? *hahaha *hahaha *hahaha | |
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| Sujet: Re: [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? | |
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| | | | [Débat] Pour ou contre l'entrée de la Turquie en Europe ? | |
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