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 Quel avenir pour le PS ?

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MessageSujet: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyLun 30 Mai - 18:40

Quel avenir pour le PS ? SGE.TUC01.300505153043.photo00.photo.default-384x265
Hollande doit reconstuire un PS déchiré et rétablir son autorité


Citation :
Au lendemain de la victoire du non à la Constitution européenne, François Hollande, grand gagnant en 2004 des régionales, des européennes et du référendum interne sur le traité, doit désormais rétablir son autorité contestée et reconstruire un PS déchiré pour préparer l'alternance en 2007.

Face à ce défi, le premier secrétaire du Parti socialiste, qui a jeté toutes ses forces dans la bataille pour le oui, veut à la fois proposer un projet politique d'alternance et régler les questions de divisions internes.

Toutefois, lundi, l'heure n'était pas au règlement de compte entre socialistes, mais bien au "combat prioritaire" contre le gouvernement. Pour François Hollande, le vote traduit "la crise" et "le malaise", tous deux qualifiés de "profonds", que "traverse notre pays". "Il y a un vaincu, c'est Chirac", a renchéri Jack Lang.

"C'est à nous de comprendre et traduire l'inquiétude et l'angoisse des Français dans un projet politique qui doit rassembler toute la gauche", a déclaré M. Hollande lundi à l'AFP, pour répondre au rejet de la politique gouvernementale manifesté selon lui par le résultat de dimanche.

"Le chef de l'Etat, affaibli, discrédité, n'a pas tiré toutes les conséquences" de ce vote, accuse-t-il, et "nous n'attendons rien du changement de gouvernement, quelqu'il soit, qui ne sera pas à la hauteur de la crise".

Dès dimanche soir, le président du groupe PS à l'Assemblée Jean-Marc Ayrault avait demandé au chef de l'Etat d'avoir "la décence de démissionner", alors que d'autres voix, comme celles de Julien Dray ou Jack Lang, plaidaient pour une dissolution de l'Assemblée nationale.

Des demandes que ne devraient pas reprendre à son compte la direction du PS. "Les partisans du oui ne veulent pas faire avec la dissolution ce qu'ils ont fait avec le référendum", analysait un responsable, soulignant que, faute de programme, "le PS n'est pas prêt" à venir au gouvernement.

"Il s'agit de reprendre la main dans la lutte contre Chirac", reconnaît sous couvert d'anonymat un responsable de la rue de Solférino, une lutte qui a été mieux identifiée aux tenants du non de gauche pendant la campagne, par les socialistes anti-traité mais aussi par les communistes, l'extrême gauche et la mouvance altermondialiste.

Si aucune voix socialiste ne s'est élevée pour demander un changement à la tête du parti, M. Hollande, souvent jugé trop "consensuel", est très attendu sur ses décisions à l'encontre des responsables socialistes qui ont fait campagne pour le non malgré le succès du oui au référendum interne.

A commencer par Laurent Fabius, numéro 2 du parti et ancien Premier ministre, et les animateurs de la minorité Nouveau Monde, Henri Emmanuelli et Jean-Luc Mélenchon, tous accusés de s'être "affranchis de la règle commune".

"Nous aurons à nous en expliquer et nous aurons à faire un grand débat en notre sein", a reconnu François Hollande. "Les militants auront le dernier le mot dans le cadre d'un congrès +le moment venu+", a-t-il ajouté. Déjà, il semble acquis que ce congrès sera l'occasion de "consacrer, dans une procédure solennelle, le respect du vote des militants", qui serait désormais inscrit dans les statuts.

L'un des membres du conseil national résume ainsi le problème des questions internes: "ne pas les éluder mais ne pas s'y arrêter".
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyLun 30 Mai - 18:42

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Les fabiusiens poussent à un infléchissement à gauche de la ligne du parti


Citation :
Les amis de Laurent Fabius, remis en selle par la victoire du non au référendum, entendent "prendre toute leur part au rassemblement du PS sur une ligne de gauche" afin que "le message des urnes" soit reçu cinq sur cinq.

Silencieux depuis l'annonce des résultats, l'ancien Premier ministre, qui voit sa cote grimper subitement à deux ans de l'élection présidentielle en 2007, devait s'exprimer lundi soir sur TF1.

En s'appuyant sur la large victoire du non qu'il appelait de ses voeux, le numéro 2 socialiste devrait réaffirmer son attachement à "l'ancrage à gauche" du PS, qu'il défend avec insistance par contraste avec la prise de position officielle du parti en faveur du oui et à l'opposé de l'étiquette de "social-libéral" dont il est affublé par ses adversaires.

Pas question pour les partisans de Laurent Fabius, à les entendre, d'oeuvrer à l'éviction du premier secrétaire François Hollande, affaibli et désavoué par l'électorat de gauche dont les deux tiers se sont portés sur le non.

"On ne réclame pas sa tête, mais il doit dire aux Français 'Je vous ai entendus' et prendre en compte pleinement la feuille de route établie par notre électorat", déclare le député de Seine-St-Denis Claude Bartolone, homme de confiance de M. Fabius.

Dans ce camp, on se plaît à souligner que l'électorat socialiste a voté exactement à l'inverse des militants du PS lors de la consultation interne de décembre 2004 sur le traité constitutionnel: près de six électeurs socialistes sur dix pour le non.

"C'est un vote populaire, de gauche, venant des ouvriers, des employés et du salariat en général, y compris des classes moyennes", fait valoir le député européen Henri Weber.

Conclusion, "si on veut gagner en 2007, il faut rassembler en faisant un projet socialiste, avec la gauche, qui soit en cohérence avec le vote de dimanche", souligne le député du Tarn et ancien ministre Paul Quilès, autre proche de Laurent Fabius.

Ce vote "est un vote anti-libéral, qui traduit le refus de l'insécurité sociale et du libéralisme comme fatalité incontournable", juge Henri Weber.

Quant à savoir si l'unité des socialistes peut se faire sur cette base, les fabiusiens estiment que "beaucoup va dépendre de François Hollande et de ses amis". "Le seul préalable pour nous, c'est que les électeurs qui sont revenus vers nous ne puissent tirer la conclusion que la politique, ça ne sert à rien. Le rassemblement doit se faire sur une base claire, sans ambiguïté", prévient M. Bartolone.

Les amis de M. Fabius ne sont pas hostiles à un congrès anticipé à l'automne pour ajuster la ligne du parti.

Cela "a du sens", estime Henri Weber mais, précise M. Bartolone, à condition qu'il ne serve pas à "des règlements de comptes". "Il faudrait un climat qui ne soit pas celui qu'on a connu dans la dernière ligne droite de la campagne", ajoute Paul Quilès, qui réclame "du sang-froid".

Alors que le débat européen a gelé les rapports entre l'état-major du oui socialiste et le reste de la gauche, les amis de l'ex-Premier ministre se targuent enfin d'avoir "rétabli des contacts réguliers avec tout le monde, y compris Jean-Pierre Chevènement, et pas dans la confusion".
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyLun 30 Mai - 18:46

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Le Parti socialiste secoué par le "non", Hollande "reste premier secrétaire"


Citation :
François Hollande a déclaré lundi sur France Inter qu'il "restait premier secrétaire" du PS, au lendemain du rejet massif de la Constitution européenne, tandis que le numéro 2 du parti, Laurent Fabius, commentera les résultats du référendum lors du journal de 20H00 sur TF1.

Rappelant le référendum interne du PS en faveur du oui, M. Hollande a déploré que "des socialistes n'aient pas respecté le choix des militants".

"Nous aurons à nous en expliquer et nous aurons à faire un grand débat en notre sein sur trois points: quelle orientation pour le PS, quelle règle nous nous imposons à nous-mêmes quand nous décidons et quelle stratégie de rassemblement de la gauche", a-t-il expliqué.

Affirmant qu'il "restait premier secrétaire" du parti, François Hollande a ajouté que les orientations du PS seront décidées "en donnant la parole aux militants". "Bien entendu, la question des dirigeants est forcément posée lorsqu'on a cette confrontation en notre sein", a-t-il noté.

Il a indiqué qu'avec Laurent Fabius, qui a fait campagne pour le non, "nous avons des choses à nous dire". "J'ai un principe, on doit respecter les règles", a-t-il dit.


La large victoire du non remet en selle le numéro 2 du PS Laurent Fabius. Celui-ci commentera lundi, lors du journal de 20H00 sur TF1, les résultats, qui déstabilisent le premier secrétaire François Hollande.

Si les responsables socialistes s'étaient préparés à une victoire du non, son ampleur les a surpris. "C'est la cata", a glissé Martine Aubry. "Contrairement à 2002, c'est la défaite collective du parti", a commenté le député européen Pierre Schapira.

Confronté à un rapport de forces aussi défavorable, François Hollande s'est gardé de faire porter la responsabilité de l'échec sur les dissidents socialistes, incriminant principalement le "chef de l'Etat, qui a froissé tous ses engagements" et le Premier ministre, dont l'action est "une suite d'échecs".

Un Conseil national du PS - instance où les partisans de Hollande et de DSK sont majoritaires - se tiendra dès samedi prochain pour tirer les premières leçons de ce scrutin. "Tout est ouvert", jugeait, la mine sombre, le secrétaire national André Vallini, proche du premier secrétaire.



Bas débit Haut débit
Acclamé rue de Solférino juste avant de faire sa déclaration, François Hollande s'est borné à regretter que "certains" socialistes se soient "affranchis de la règle commune" en faisant campagne pour le non. Pour Dominique Strauss-Kahn, leur "part de responsabilité est grande".

M. Hollande s'est prononcé pour "une stratégie évitant le double discours", selon qu'on est au pouvoir ou dans l'opposition.

Beaucoup de responsables socialistes évoquent désormais ouvertement un congrès anticipé "à l'automne" pour trancher sur l'orientation du parti. Le numéro un socialiste s'est contenté de promettre que "les militants auront le dernier mot".

L'idée d'un règlement de comptes entre partisans du oui et du non, accréditée par plusieurs déclarations avant le 29 mai, s'éloigne. "Il n'y a pas une organisation politique qui peut aller contre 70% de ses électeurs", faisait observer Claude Bartolone, homme de confiance de Laurent Fabius. "Laurent Fabius ne sort pas affaibli" du scrutin, convenait André Vallini.

Des élus socialistes, cependant, ne cachaient pas leur inquiétude sur la suite des événements au PS. "J'ai peur pour tout ce qu'on a construit ensemble", confiait Pierre Schapira.

Signe de la très forte tension entre les camps socialistes du oui et du non, le député des Landes Henri Emmanuelli - un des leaders du non au sein du PS - qui a appelé ses camarades à "examiner ce vote avec sérénité", a été conspué par des militants à son apparition sur les écrans de télévision. "Salopard! Facho!", a-t-on entendu au siège du parti, au milieu des huées.
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyMer 1 Juin - 23:57

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PS: affrontement en vue entre Hollande et Fabius


Citation :
Un affrontement est en vue au Conseil national du PS samedi entre partisans de François Hollande et Dominique Strauss-Kahn d'un côté, de Laurent Fabius et la gauche du parti de l'autre, les deux camps tirant des conclusions différentes de la victoire du non au référendum de dimanche.

De l'issue de cette bataille dépend le maintien, à son poste de numéro 2, de Laurent Fabius, sorti vainqueur du scrutin du 29 mai qui a vu les deux tiers environ de l'électorat de gauche voter non à la Constitution européenne.

Le premier secrétaire a indiqué mercredi qu'il demanderait aux socialistes "la clarté sur l'orientation, la clarté sur les équipes, la clarté sur la stratégie".

Le camp du oui a commencé mardi à fourbir ses armes. Son travail prendra la forme d'un texte soumis au vote, confirmant pour l'essentiel la ligne du "réformisme de gauche" et désavouant les "indisciplinés", selon des membres de l'état-major du oui. Il devrait aussi, selon les mêmes sources, prévoir la convocation d'un congrès anticipé, pour l'automne.

Outre les parlementaires Jean-Luc Mélenchon et Henri Emmanuelli, Laurent Fabius est dans le collimateur des tenants du oui pour s'être répandu dans les médias contre la ligne officielle du parti en clamant son non au traité constitutionnel.

Le texte, en cours d'élaboration d'ici sa finalisation tard vendredi soir, sera sans doute impossible à avaliser par M. Fabius, sauf à avaler son chapeau, pronostiquent des responsables de la majorité du PS.

"On va avoir un texte inacceptable, donc il ne peut pas le voter, donc il sort" avec ses amis du secrétariat national, l'exécutif du parti, a prédit l'un d'eux, sous couvert de l'anonymat.

Selon l'ancien ministre Dominique Strauss-Kahn, s'exprimant dans un entretien au Monde, "il n'est pas certain que Laurent Fabius souhaite continuer" à la direction du parti comme numéro 2.

Les fabiusiens n'entendent pas se laisser faire. "Si le texte n'est pas acceptable, on votera contre", a affirmé à l'AFP l'un d'eux, le député de Seine-St-Denis Claude Bartolone. "Après, que François Hollande prenne ses responsabilités!", a-t-il ajouté. Sous-entendu: ce sera au premier secrétaire d'assumer l'initiative de la rupture.

Hollandistes et Strauss-Kahniens disposent de la majorité absolue au Conseil national, et cette instance élit le secrétariat national, sur proposition du numéro un du parti.

Il reste à sceller l'alliance entre ces deux "écuries", ce qui paraissait en bonne voie mercredi malgré une méfiance réciproque perceptible de l'extérieur. "La situation est assez grave pour ne pas ajouter la mesquinerie à la crise, nous ne voulons pas compliquer la tâche du premier secrétaire", selon le député Jean-Christophe Cambadélis, proche de DSK.

Dans un entretien au Monde, M. Strauss-Kahn marque néanmoins sa différence, en insistant lourdement sur l'impératif pour le PS de proposer "des solutions crédibles", une manière de dire que François Hollande n'a pas su concrétiser à temps la ligne du réformisme de gauche.

Pour les partisans du non au référendum, la direction Hollande est incapable de tirer les leçons du scrutin.

"François Hollande n'a rien compris. Il a fait une analyse du référendum sans jamais faire la moindre autocritique", a commenté le fabiusien François Loncle après la réunion du groupe des députés PS mardi.

Pour Vincent Peillon, dirigeant de la minorité Nouveau Parti socialiste (17% du parti), "il faut pas qu'à l'autisme de Jacques Chirac réponde l'autisme de François Hollande, que le premier secrétaire ne prenne pas la mesure de l'attente des Français et qu'il ne songe qu'à des règlements de comptes internes".
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyVen 3 Juin - 11:18

je sais pas exactement quel avenir a le PS mais j'ai entendu Mélanchon hier soir et en 5 minutes il a fait comprendre à tous les partisans du NON qu'ils avaient voté en suivant un vrai con.

Il a sorti des trucs du genre "rein à foutre des Lituaniens, t'en a déjà vu un toi, moi jamais" et samedi à la Bastille il se tripotait en chantant l'Internationale... *punch

Ou alors après, il était invité à une soirée électorale à la TV, la 2 je crois et il fanfaronnait comme un gamin et répéter sa blague (qu'il devait trouver excellente puisqu'il l'a répétée au moins 3 fois), "ouais José, je suis à paranoland... *bravo

Et en plus il se permettait d'invectiver les standardistes parce qu'il n'y avait personne pour l'accueillir... Bel exemple d'humilité.

Il ferait mieux de rejoindre le FN, au moins il serait plus en accord avec son comportement et ses idées, le PS c'est définitivement pas pour lui mais je pense qu'il est même trop lache pour assumer ses idées politiques, enfin, je pense qu'aucun militant socialiste ne s'y trompera et que sa carrière politique est foutue.

Il a pluq qu'a aller rejoindre Gripond aux oubliettes.
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyVen 3 Juin - 12:07

Pff ils m'écoeurent *mur

Mélenchon et Emmanuelli avaient tous les deux un point commun : ils étaient complétement cramé politiquement. Au placard, au fond du trou. Et ils pensent que cette gloire économique va les relancer (ils se trompent). Holland est un mou, ça fait longtemps qu'il aurait du aller tête baissée dans la crise et virer tout ces types qui ont fait campagne au nom du PS d'une manière ou d'une autre, bien qu'ils affirment le contraire.
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyLun 6 Juin - 10:05

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La direction du PS pour un congrès de "rassemblement" pour préparer "l'alternance"


La direction du Parti socialiste propose aux militants "rassemblés" l'organisation d'un "congrès de projet et d'orientation stratégique" pour "préparer l'alternance" dans un texte d'orientation qui doit être soumis au vote des membres du Conseil national réunis samedi à Paris.

"Le PS sort divisé du référendum (...), la direction issue du congrès de Dijon s'est même séparée à cette occasion", reconnaît le texte qui regrette que "les manquements graves aux règles communes" aient "troublé notre électorat et heurté les militants".

"C'est aux militants qu'il conviendra d'en tirer toutes les conséquences", ajoute-t-elle en proposant à cette fin "l'organisation d'un congrès de projet et d'orientation stratégique" qui se tiendrait le 18 novembre.

"Le rassemblement des socialistes est aussi indispensable qu'exigeant", affirme-t-elle, mais "il ne peut se faire sans respect de nos règles collectives". Ce texte annonce ainsi, sans donner de noms, des changements à la direction nationale dont ne devraient plus faire partie les dirigeants qui ont fait campagne pour le non au référendum sur la Constitution européenne, à commencer par le numéro 2 du parti, Laurent Fabius.

"Une direction nationale et un secrétariat national cohérents seront chargés de préparer" le congrès, propose le texte.

Selon le document, le congrès "fonde notre projet (...) pour que la gauche prépare une alternative pour 2007".

Le rassemblement ne pourra pas se faire en étant à la remorque de lignes politiques définies à l'extérieur du Parti socialiste", avertit la direction visant les partisans du non.

Sur l'analyse du vote du référendum qui a vu le non l'emporter avec 54,7% des voix, alors que le PS faisait officiellement campagne pour le oui, la direction du PS estime que le choix des Français "exprime en même temps une insatisfaction vis-à-vis de l'Europe telle qu'elle se fait, et dont les orientations économiques trop libérales sont insuffisamment protectrices face aux défis de la mondialisation".
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MessageSujet: Re: Quel avenir pour le PS ?   Quel avenir pour le PS ? EmptyLun 6 Juin - 19:47

franchement, c'est clair que celui qui passera pour un bouffon fini dans cette campagne referendaire, c'est bien Melanchon... qu'il aille postuler chez ses nouveaux copains, il est bien dans le ton.

Pour ce qui est de la discalification d'un Fabius, je reste plus prudent. si 55% des militants socialistes ont voté oui au referendum interne du PS, 45% ont voté non... et on s'est rendu compte par la suite qu'une majorité d'électeurs socialistes ont voté non aussi par la suite. il represente une part non négligeable des partisans socialiste, et le sanctionner, car c'est bien ce qui c'est passé, me parait un peu dangereux : le referendum est passé, il a succité beaucoup de passion, c'est maintenant de l'histoire ancienne, ce n'est pas ou en tout cas plus la motivation première du parti socialiste : c'est surtout proposer un plan, des idées à l'echelle nationnale, avec en vue 2007... je pense, même si je ne le porte pas vraiment dans mon coeur, que Fabius a encore beaucoup de point commun, qu'il est socialiste, et qu'il avait sa place encore...

faire naitre un sentiment de guerre de clocher, en plus que de risquer de passer pour des dirigeants politiques autistes a la majorité de leurs electeurs, me parait etre une stratégie hasardeuse...

m'enfin bon, un congrès est prévu, Hollande remettra son trône en jeu, ca ca me parait sain par contre. j'espere par ailleurs qu'Hollande degagera, je ne le supporte pas, et moi qui suis socialiste par essence, je me taterai a voter pour lui s'il se presente en 2007...

il paye un peu pour ses successeurs, dirigeant de partis d'oppositions : je ne supporte plus les critiques, les railleries sur le pouvoir en place, avec pertinence ou non, sans que l'on me présente des alternatives viables. ces propositions se font toujours avant les elections, noyées dans un immense flot de demagogie, et ca me lourde au plus haut point.
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