Un livre à me conseiller ?

Certes, certes. Tu me rassures JB car avec ta lubie de m'appeler Phil je me sentais moins femme tout d'un coup :p

Je t'ai appelé Phil comme j'aurais pu t'appeller la téneb, Men, ou La bru

La brune a écrit:: Il était évident qu'avec les données que vous avez en votre possession vous ne pouviez comprendre. Et même avec toutes les données...

ça fait plaisir ! roll

Saches que Chosta peut tout comprendre ! Chosta maitrise le théorème de pythagore et a lu le petit nicolas six fois !!!!
Confies toi ma petite , confies toi ! Un livre à me conseiller ? - Page 10 Precheur

Un livre à me conseiller ? - Page 10 Precheur

Bah qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Eh as-tu fait le serment d'hypocrate ? :D

Bon puisque tu y tiens mais on est complètement HS !

Bien que je croyais fermement le contraire je réalise que je suis masochiste. Pourquoi ai-je le chic d'aller dans des services où on gère des merdes ?!!! Pourquoi ? Je me le demande ?! La seule réponse possible est: je suis maso !!
Pour preuve, je poste encore sur ce forum roll

Un bon coup de cravache te remettrai les idées en places, Philo je pense roll

D'ailleurs elle ne poste qu'après avoir revêtu sa combinaison en cuir....

c'est quoi ça comme remarque ?! what

Ne mens pas, tous les soirs je te vois te changer et mettre ta combinaison et ta casquette en cuir avant de te mettre devant tohu.... oui, on te voit par la fenêtre peur

Hum !

Je voulais poster ce qui va suivre déjà hier mais j'ai eu un problème technique

La coïncidence a fait que j'ai reçu cette publicité dans ma boîte aux lettres la veille du dernier post sur Sarah Palin.

Il s'agit du premier chapitre du roman "Sans un mot" d'Harlan Coben, que je n'ai encore jamais lu. Un polar donc.

Ca vous fera de la lecture pour demain ;)

Marianne sirotait son troisième verre de Cuervo, émerveillée par son infinie capacité à détruire tout ce qu'il pouvait y avoir de bon dans sa pitoyable vie, quand l'homme à côté d'elle s'écria :
— Écoutez voir, mes petites belles : le créationnisme et l'évolutionnisme sont parfaitement compatibles.
Il lui avait postillonné dans le cou. Marianne grimaça et coula un regard rapide dans sa direction. Assis à sa droite, le bonhomme avait une grosse moustache en broussaille sortie tout droit d'un film X des années soixante-dix. La blonde décolorée aux cheveux secs comme de la paille à qui était destiné ce brillant trait d'esprit était assise à sa gauche. Marianne se retrouvait donc dans l'inconfortable position de la tranche de jambon d'un sandwich à la composition douteuse.
S'efforçant de les ignorer, elle scrutait son verre comme s'il s'agissait d'un diamant pour une future bague de fiançailles, dans l'espoir de faire disparaître le moustachu et la fille aux cheveux filasse. Rien à faire, ils étaient toujours là.
— Vous êtes cinglé, dit Miss Filasse.
— Attendez que je vous explique.
— OK, je vous écoute. Mais je pense que vous êtes cinglé.
— Vous ne voulez pas qu'on change de place ? fit Marianne. Vous seriez l'un à côté de l'autre ?
Moustache posa la main sur son bras.
— Bougez pas, ma petite dame, j'aimerais que vous aussi entendiez ça.
Elle allait protester, sauf qu'il serait peut-être plus simple de ne rien dire. Elle se replongea donc dans la contemplation de son verre.
— OK, reprit Moustache, vous avez entendu parler d'Adam et Ève, hein ?
— Bien sûr, acquiesça Miss Filasse.
— Et vous y croyez, à cette histoire ?
— Comme quoi il était le premier homme et elle, la première femme ?
— C'est ça.
— Ben non. Et vous ?
— Moi, j'y crois.
Il tapota sa moustache comme on flatte un rongeur de petite taille.
— D'après la Bible, c'est comme ça que ça s'est passé. Adam est arrivé, puis Ève a été formée à partir d'une de ses côtes.
Marianne buvait. Elle buvait pour des tas de raisons. La plupart du temps, c'était pour s'éclater.
Des troquets comme celui-ci, elle en avait fréquenté en veux-tu en voilà, cherchant à faire des rencontres et plus si affinités. Mais ce soir, la perspective de repartir avec un homme ne l'intéressait guère. Elle buvait pour s'étourdir, et tant pis si ça ne marchait pas. Cette conversation sans queue ni tête, maintenant qu'elle laissait courir, la distrayait. Atténuait la douleur.
Elle avait tout foiré.
Comme d'habitude.
Elle avait passé sa vie à fuir tout ce qui était juste et moral, une quête permanente de plaisirs inaccessibles, un état de perpétuel ennui ponctué de pathétiques moments d'euphorie. Elle avait détruit ce qui avait été bien, et lorsqu'elle avait voulu recoller les morceaux, elle s'était plantée, comme toujours.
Marianne avait fait du mal à ses proches. La torture morale qu'elle avait exercée s'était portée exclusivement sur des êtres chers. Aujourd'hui, l'égoïsme et la bêtise aidant, elle pouvait ajouter de parfaits étrangers à la liste de ses victimes. Le cyclone Marianne.
Bizarrement, faire du mal à des étrangers semblait plus grave encore. On fait tous du mal à ceux qu'on aime, non ? Mais nuire à des innocents, ça, c'était un mauvais karma.
Marianne avait brisé une vie. Et peut-être pas qu'une.
Pour quoi ?
Pour protéger son enfant. C'était ce qu'elle avait cru.
Pauvre cloche.

La suite dans le prochain post...

- Ok, déclara Moustache. Adam a engendré Eve, ou quel que soit le terme exact.

- Des conneries de macho, ça répliqua Miss Filasse.

- Oui, mais parole divine.

- La science a prouvé que c’est faux.

- Attendez un peu, ma jolie. Ecoutez-moi jusqu’au bout.

Il leva la main droite.

- Nous avons Adam…

Après quoi, il leva la main droite.

- … et nous avons Eve. Nous avons le jardin d’Eden, oui ?

- Oui.

- Bon, Adam et Eve ont deux fils, Caïn et Abel.

Et voilà qu’Abel tue Caïn.

- Caïn tue Abel, rectifia Miss Filasse.

- Vous en êtes sûre ?

Il fronça les sourcils, réfléchit. Puis, balayant l’objection :

- Comme vous voudrez. Bref, l’un des deux meurt.

- Abel, Caïn le tue.

- Sûr ?

Miss Filasse hocha la tête.

- OK, ça nous laisse Caïn. La question est : avec qui Caïn s’est-il reproduit ? Je veux dire, la seule femme disponible, c’est Eve, et elle n’est plus toute jeune. Alors comment l’humanité s’est-elle perpétuée, hein ?

Moustache s’interrompit, comme dans l’attente d’applaudissements. Marianne leva les yeux au ciel.

- Vous voyez le dilemme ?

- Peut-être qu’Eve a eu un autre enfant. Une fille.

- Il aurait donc couché avec sa sœur ? s’enquit Moustache.

- Ben oui. A l’époque, tout le monde baisait avec tout le monde. Adam et Eve étaient les premiers ; forcément, il a dû y avoir de l’inceste au début.

- Non.

- Non ?

- La Bible interdit l’inceste. La réponse, on la trouve dans la science. C’est de ça dont je parle.

La science et la religion peuvent très bien coexister. Tout est dans la théorie de l’évolution de Darwin. Miss Filasse intéressée.

- Comment ça ?

- Réfléchissez un peu. D’après tous ces darwiniens, de qui descendons-nous ?

- Des primates.

- Exact, des singes – hominidés, anthropoïdes – ce que vous voudrez. Alors voilà, Caïn est banni et erre seul à travers notre belle planète. Vous me suivez ?

Moustache tapota le bras de Marianne pour s’assurer qu’elle écoutait. Elle pivota comme une somnambule dans sa direction. Si on vire la moustache porno, pensa-t-elle, ça pourrait être jouable.

Elle haussa les épaules.

- Je vous suis.

- Super.

Il sourit, haussa un sourcil.

- Caïn est un homme, n’est-ce pas ?

Miss Filasse, voulant revenir dans la conversation :

- Oui.

- Bien, il se balade. Et ça le travaille. Ses pulsions naturelles, quoi. Un jour, alors qu’il traverse la forêt…

Nouveau sourire, nouvelle caresse sur la moustache.

- … il tombe sur une guenon avenante, un gorille ou un orang-outan femelle.

Marianne ouvrit de grands yeux.

- Vous rigolez, là ?

- Non. Réfléchissez bien. Caïn repère quelqu’un de la famille des singes. C’est ce qu’il y a de plus proche de l’homme, non ? Il saute sur une femelle, ils font… vous savez…

Il joignit les deux mains sans bruit, au cas où elle ne saurait pas.

- Bref, la guenon tombe enceinte.

- C’est immonde, lâcha Miss Filasse.

Marianne voulut se replonger dans son verre, mais l’homme lui tapota à nouveau le bras.

- Reconnaissez que ça tient la route. La guenon accouche d’un bébé. Moitié singe, moitié homme. Il a l’air d’un singe, mais peu à peu, avec le temps le côté humain prend le dessus. Et voilà ! Evolutionnisme et créationnisme enfin réconciliés.

Il sourit, comme s’il s’attendait à recevoir une médaille.

- Voyons si j’ai bien compris, dit Marianne. Dieu est contre l’inceste, mais Il accepte la zoophilie ?

Le moustachu la gratifia d’une tape paternelle sur l’épaule.

- Moi, ce que j’en dis, c’est que tous ces petits malins avec leurs diplômes scientifiques qui pensent que la religion est incompatible avec la science manquent d’imagination. Le problème est là. Les scientifiques se retranchent derrière leurs microscopes. Les religieux se retranchent derrières leurs Saintes Ecritures. Et personne ne voit la forêt derrière le premier rideau d’arbres.

- Cette forêt, fit Marianne, c’est celle où on rencontre des guenons avenantes ?

L’atmosphère changea imperceptiblement. Ou peut-être était-ce son imagination. Moustache se tut et la dévisagea longuement. Marianne n’aimait pas ça. Elle sentit comme une différence. Une sorte de décalage. Ses yeux étaient noirs, opaques, deux billes de verre que quelqu’un aurait placées au hasard… des yeux sans vie. Il cilla et se rapprocha d’elle.

La scrutant de près.

- Dites donc, chérie, vous avez pleuré ou quoi ?

Marianne se tourna vers la fille aux cheveux filasse. Qui la regardait elle aussi.

- Vous avez les yeux rouges, ajouta-t-il. Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Mais qu’est-ce qui ne va pas ?

- Ca va, répondit-elle.

Sa voix lui sembla pâteuse.

- Je voudrais simplement voire en paix.

- Mais oui, bien sûr.

Il leva les mains.

- Je ne voulais pas déranger.

Les yeux rivés sur sa tequila, Marianne guettait un mouvement dans son champ de vision périphérique. En vain. Le moustachu n’avait pas bougé.

La suite au prochain post..

Elle buvait une longue gorgée. Le barman nettoyait une tasse avec l’aisance de quelqu’un qui fait ça depuis des années. Elle s’attendait presque à ce qu’il crache dedans, comme dans les vieux westerns. L’éclairage était tamisé. Derrière le bar, il y avait le traditionnel miroir sombre antireflet, si bien que les visages des autres consommateurs vous paraissaient adoucis et, par conséquent, sous un aspect flatteur.

Marianne jeta un coup d’œil au moustachu dans le miroir.

Il la dévisagea d’un air mauvais. Epinglée par ces yeux opaques, elle n’arrivait plus à s’en détacher.

Lentement, l’air mauvais se mua en sourire, un sourire qui lui fit froid dans le cou. Marianne le regarda tourner les talons, et une fois l’homme parti, exhala un soupir de soulagement.

Elle secoua la tête. Caïn se reproduisant avec un singe… mais oui, bien sûr.

Sa main tâtonna à la recherche de son verre. Le verre trembla. Jolie diversion, cette théorie à la noix, mais son esprit était incapable de voguer longtemps en dehors des eaux troubles.

Elle repensa à ce qui s’était passé. Avait-elle vraiment cru bien faire sur le moment ? Avait-elle vraiment réfléchi…au prix à payer, aux retombées sur les autres, aux vies mutilées ?

Probablement pas.

Oui, il y avait eu blessure. Il y avait eu injustice. Il y avait eu fureur aveugle. Le désir brulant, primitif, de vengeance. Rien à voir avec la référence biblique (ou evolutionnisme, tiens) à « œil pour œil »… Comment qualifiait-on déjà ce qu’elle avait commis ?

Mesure de rétorsion.

Elle ferma les yeux, les frotta. Son estomac se mit à gargouiller. Le stress, sûrement. Ses yeux se rouvrirent. La lumière semblait avoir baissé. La tête commençait à lui tourner.

Trop tôt pour ça.

Combien de verres avait-elle éclusés ?

Elle se cramponna au bar, comme les soirs où l’on se couche après avoir pris une cuite : le lit se met à valser, et on s’y raccroche de peur que la force centrifuge ne vous projette par la fenêtre la plus proche.

Son estomac gargouilla de plus belle. Tout à coup, elle écarquilla les yeux. Une douleur fulgurante lui déchira les entrailles. Elle ouvrit la bouche, mais le cri ne sortit pas… coincé dans sa gorge tellement elle avait mal. Marianne se plia en deux.

- Ca ne va pas ?

La voix de Miss Filasse paraissait venir de très loin. La douleur était atroce. Jamais elle n’avait eu aussi mal… enfin, pas depuis l’accouchement. Accoucher, le petit test de Dieu. Devinez quoi… ce petit être qu’on est censé aimer et chérir plus que soi-même ? Eh bien, quand il vient au monde, on trinque au-delà de tout ce qu’on saurait imaginer.

Charmante façon de commencer une relation, ne trouvez-vous pas ?

Qu’en penserait Moustache, hein ?

Des lames de rasoir – c’était l’impression qu’elle avait – lui lacéraient les boyaux comme si quelque chose cherchait à s’en échapper. Toute pensée rationnelle déserta son esprit. La douleur la consumait. Elle en avait oublié ce qu’elle avait fait, les dégâts qu’elle avait causés, pas seulement aujourd’hui, mais tout au long de sa vie. Ses parents, ratatinés, vieillis par ses frasques d’adolescente. Son premier mari, démoli par ses constants coups de canif dans le contrat ; son second mari, par la façon dont elle le traitait, et puis il y avait son enfant, les rares personnes qui lui avaient gardé leur amitié au-delà de quelques semaines, les hommes dont elle s’était servie avant qu’ils ne se servent d’elle…

Les hommes. Il devait y avoir une histoire de précaution là aussi : les piétiner avant qu’ils ne vous piétinent.

A tous les coups, elle allait vomir.

- Toilettes, articula-t-elle.

- Je vous accompagne.

Miss Filasse, encore elle.

Marianne se sentit glisser du tabouret. Des bras vigoureux la soutinrent par les aisselles. Quelqu’un – Miss Filasse – la pilota vers le fond de la salle. Elle tituba en direction des toilettes. Sa gorge était complètement desséchée. La douleur à l’estomac l’empêchait de tenir debout.

Les bras la maintenaient fermement. Marianne gardait les yeux baissés. Il faisait sombre. Elle ne voyait que ses propres pieds, traînants, qu’elle parvenait à peine à soulever. Elle essaya de se redresser, vit la porte des toilettes, se demanda si elle y arriverait. Elle y arriva.

Et continua d’avancer.

Miss Filasse la tenait toujours aux aisselles. Elle la propulsait au-delà des toilettes. Marianne voulait revenir en arrière. Son cerveau n’obéissait pas aux ordres. Elle voulait interpeller la bonne âme pour lui dire qu’elles avaient passé la porte, mais sa bouche ne fonctionnait pas non plus.

- Par ici la sortie, murmura la femme. C’est mieux.

Mieux ?

Elle sentit son corps peser sur la barre métallique de l’issue de secours. La porte céda. Sortir par-derrière. Ce n’était pas bête, pensa Marianne. Pourquoi salir les toilettes ? Autant faire ça dans le passage. Et respirer de l’air frais. L’air frais pourrait lui faire du bien. L’aider à récupérer plus vite.

Le battant s’ouvrit à la volée, heurtant le mur extérieur avec fracas. Marianne sortit en trébuchant. L’air du dehors la requinqua, en effet. Pas beaucoup. La douleur était toujours là. Mais elle savoura la sensation de fraîcheur sur son visage.

Ce fut à ce moment-là qu’elle aperçut la camionnette.

Une camionnette blanche aux vitres teintées. Les portes arrière étaient grandes ouvertes, comme une bouche prête à l’avaler tout entière. Et là, juste à côté des portes, empoignant Marianne et la poussant dans la camionnette, il y avait l’homme à la moustache en broussaille.

Elle tenta de résister, en vain.

Moustache la jeta à l’intérieur comme un sac de tourbe. Elle atterrit avec un bruit mat sur le plancher et se planta au-dessus d’elle. Marianne se roula en position fœtale. Elle avait toujours mal à l’estomac, mais maintenant la peur prenait le dessus.

L’homme arrache sa moustache et lui sourit.

Le véhicule s’ébranla. Ce devait être Miss Filasse qui conduisait.

- Salut, Marianne, dit-il.

Elle ne pouvait ni bouger ni respirer. Il s’assit à côté d’elle, leva le poing et la frappa violemment au ventre.

Si jusque-là la douleur avait été insoutenable, à présent elle atteignait une tout autre dimenson.

- Où est la cassette ? demanda-t-il.

Et il commença à la massacrer.

Résumé au dos du fascicule :

Jusqu’à quel point connaît-on réellement son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question. Depuis le suicide de Spencer, son meilleur ami, Adam, leur fils de 16 ans, est sombre et renfermé, ne se confiant qu’à son ordinateur. L’ordinateur justement, que sous couvert de protéger leurs fils, Mike et Tia décident d’espionner. « Boucle-la et tu risques rien » : voilà le message inquiétant qu’ils y découvrent. Quant il s’avère que Spencer n’était pas seul le soir de sa mort, et alors que ses parents s’interrogent sur leur fils, Adam disparaît sans un mot…

Le génie de Coben a encore frappé ! Et fort. En plus de nous mettre les nerfs à vif et de faire monter inexorablement l’adrénaline, Harlan Coben nous surprend en disséquant les questions que tous les parents se posent… et les réponses que tous les enfants ne peuvent pas donner.

Vous avez aimez le film Trainspotting ? Alors vous aimerez sa suite en bouquin car je doute qu'elle soit portée à l'écran.

L'auteur Irvine Welsh

ouais je sais pas , j'ai pas vu trainspotting , aussi , quand Bratcho a posté une critique de "une ordure " du meme auteur j'y ai vu l'occasion de découvrir cet auteur ! Et bien ce livre est une merde sans nom !!! Scénario pourri basé sur une enquête cousu de file blanc avec un héros très cynique( ce qui fais qu'on se marre vraiment de temps en temps ) et très méchant ! et pourquoi il est méchant ???? je vous le donne Emile , parce qu'on a été méchant avec lui quand il était petit ! Se greffe la dessus dessus une histoire grotesque de vers solitaire qui parle what

! bref une merde sans nom !!!
Donc je poste pour dire que pour moi avec irvin Welsh , l'aventure s'arrête ici !!!

tiens en parlant de suite...
au secours Pardon...la pseudo suite de 99 francs...c'est assez mauvais, beaucoup moins subversif que le premier ici l'auteur au long menton s'est concentré sur le style, la forme...alors oui c'est très travaillé mais l'esprit de subversion ne repose que sur le sexe et c'est très convenu finalement...

chostakovitch a écrit:: ouais je sais pas , j'ai pas vu trainspotting

Quoi ?

C'est pour ça que tu dis que l'aventure avec Irvine s'arrête là. Je te l'accorde "Une ordure" n'est pas transcendant.

Trainspotting est un bon film. Je ne dis pas que la suite en bouquin est un chef-d'oeuvre mais quand on a aimé le film, on apprécie également la suite.
Je ne te cache pas que c'est violent et trash. Le tryptique: Drogue, alcool, sexe est un fil continu.

Pour Beigbeder, j'ai lu trois bouquins je crois. C'est bon, j'en suis revenue. Mais je n'ai pas lu ni vu 99 francs.

Un livre à me conseiller ? - Page 10 9782259208093

Marblehead, banlieue de Boston : employé d'une société de télécommunications, John Helling se retrouve un soir de désoeuvrement, assoupi devant sa télévision, lorsque son attention est attirée par l'émission 'QI, le grand test' : il s'agit pour les téléspectateurs de tester leur intelligence via un questionnaire. A sa grande stupéfaction, John découvre qu'il a un QI de 150, un chiffre exceptionnel ! Stupéfait, il décide de se confier à un spécialiste ; peu après leur entrevue, alors qu'il allait lui livrer son diagnostic, celui-ci disparaît dans des circonstances étranges. Accident ou crime ? Chercherait-on à éviter que John ne découvre les origines de son QI hors du commun ? Et si toute son existence n'avait été qu'une longue manipulation ?

C'est pas mal (se lit très rapidement).

Je vais pouvoir embrayer sur le deuxième tome des aventures de Mikael et Lisbeth en espérant que ce soit aussi passionnant que le premier tome.

Les derniers livres que j'ai lu ET adorés (et que par conséquent je conseille) sont :
- L'élégance du hérisson, de Muriel Barbery
- Dan Harrington on Poker, par Dan Harrington et Bill Robertie, 3 tomes...

xenomorphe a écrit:: Les derniers livres que j'ai lu ET adorés (et que par conséquent je conseille) sont :
- L'élégance du hérisson, de Muriel Barbery
- Dan Harrington on Poker, par Dan Harrington et Bill Robertie, 3 tomes...

L'elegance du hérisson je leur avais conseillé mais j'ai pâs eu de retour !!! c'est un p'tit bijou ce livre !

OUI
Une vraie tuerie ce livre.
La dernière fois que j'avais lu un livre aussi bien écrit c'était La conjuration des imbéciles, de J.K. Toole.

xenomorphe a écrit:: OUI
Une vraie tuerie ce livre.
La dernière fois que j'avais lu un livre aussi bien écrit c'était La conjuration des imbéciles, de J.K. Toole.

un de mes livres préféré la conjuration !!!! trop bon, je me demande même si je n'en ai pas parlé dans ce topic

ben c'est le prochain sur ma liste alors !!! merci !

grave bon chosta, FONCE !!!
Un livre avec de l'intelligence (aiguisée) de l'humour, 3 niveaux de langues véritablement compartimentés et d'une finesse sans fin, et UN DESTIN TRAGIQUE : JK Toole s'est suicidé parce que le livre ne trouvait pas d'éditeur (ce qui me fait HALLUCINER). Des années plus tard, sa mère le retrouve, le fait publier : une des meilleures ventes de tous les temps !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

enfin sa mère a quand même galeré pendant pas mal de temps avec son manuscrit il me semble...

Jonathan Swift "quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on le peut reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui".
donnée en citation pour introduire le livre

» Le livre sans nom
» Le livre de Tohu-Bohu
» Quid de l'avenir du livre
» Un livre créationniste musulman s'incruste au lycée