Ca fait quelques heures que je dois supporter les trois types qui sont venus réparer le volet de mon coloc' dont la chambre est à côté de la mienne. Je ne loupe rien de leurs échanges. J'en suis à 3 blagues plus que douteuses proférées par le pire d'entre eux (Marc, si j'ai bien compris, comme quoi...
). Pourtant, celui à qui je mettrais bien des claques, c'est le pénible qui depuis des heures siffle Porque te vas. Parfois, il chante même. Et fais des commentaires obcènes sur les femmes espagnoles. Ils seraient dans ma chambre que je ne les entendrais pas mieux vu qu'ils se parlent comme s'ils étaient à 500 mètres les uns des autres. Et ca c'est quand ils s'engueulent pas.
J'irai bien leur dire de se calmer un peu mais je dois bien avouer que je suis un peu intimidée et pas mal facsinée par ce manque totale de considération d'autrui et de conscience de soi-même (bon et peut-être aussi que je suis morte de rire toute seule dans ma chambre, peut-être).
Edit: tiens là, y'en a un (Marc, je crois) qui vient de menacer de frapper l'autre.
Quote: "La seule chose que tu as le droit de balancer dans mon lit, c'est ta femme." Je me demande ce qu'il avait proposé de balancer à la base.
Edit bis: maintenant on cherche des vis qui auraient disparues. Et on suspecte que le plus jeune les ait dans le ...
Quote bis: "Oh elle bouffe de tout, tu peux lui donner ce que tu veux comme merde, un vraie truie." Il s'avère qu'il parle de sa femme (Marc encore).